Un chat joue avec de l’ectoplasme

Ceci est une retranscription écrite de mes coups de cœur de l’émission BLive du 30 novembre diffusée toutes les deux semaines le samedi sur BlueWave (à 18 minutes).

Flow, le chat qui n’avais plus peur de l’eau

On est vachement gâté en films d’animations en cette fin d’année. Cela a commencé avec le Robot Sauvage, le dernier DreamWorks qui vaux vraiment le coup et qui marque, j’espère durablement, le renouveau du studio. Je vous invite à lire ma rétrospective que j’ai faite à ce sujet.

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Rétrospective DreamWorks

Ceci est une retranscription écrite de mes coups de cœur de l’émission BLive du 2 novembre diffusée toutes les deux semaines le samedi sur BlueWave (à 36 minutes).

C’est également la première fois que j’expérimente ce format. Il y a beaucoup de redondances qui passent mal à l’écrit, soyez indulgent ^^ ».

Ce n’est pas nouveau, j’ai toujours aimé les films d’animations et si on enlève tout le cinéma d’animation traditionnelle (c’est-à-dire en 2D), il y a deux grands studios qui se partagent le marché. Il y Pixar … Enfin, on va dire Disney. Et DreamWorks.

DreamWorks possède une filmographie quand même assez conséquente avec pas moins de 54 films à leur actif. Je suis à peu près certain que vous n’en avez pas vu la moitié. Bon, je ne vais pas vous jeter la pierre : moi non plus.

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Au-delà de la lumière, du son et de l’espace

Peu de billets sur ce blog, mais encore un qui est écrit avec une plume emplie d’émotion.

Je veux parler ce soir de ce que je considère comme ma première vraie expérience de cinéma … qui n’a même pas été au cinéma en plus !

Je ne vais que très peu parler du film en lui-même, car je le considère comme bien plus que ça, une œuvre qui transperce ses propres concepts : Interstellar.

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Madame Violet Evergarden, pouvez-vous écrire cette lettre ?

Cher lecteur,

 

Je ne sais à qui cette lettre sera adressée, perdue dans ce flot infini de données, noyée dans cette tempête au bruit sourd et continu, captive de ce vaisseau des temps anciens.

Ce soir, cher inconnu, je voulais te présenter quelqu’un ; ou plutôt son histoire. Une histoire que l’on m’a comptée jadis et qui m’avait diverti sur le moment, mais qui ne m’avait pas autant chamboulé qu’aujourd’hui.

Cette histoire, c’est celle d’une jeune fille dénuée de sentiments, vouée à la guerre par ses aptitudes aux combats et son obéissance religieuse aux ordres de son maître. Cette fille était telle qu’elle n’avait pas de nom. Elle était simplement qualifiée « d’arme ».

Un jour, elle fut confiée à un homme qui voyait en elle plus qu’une simple machine. Il lui appris à lire et lui donna même un nom : Violet. Bien que la guerre prit fin, celle-ci la priva de ses deux bras et lui retira la vie de son protecteur qui lui donna un dernier ordre : « Vis et sois libre ».

Incapable de savoir ce qu’elle allait faire ensuite, dotée de nouveaux membres de fer et d’acier mais privée de ses seules raisons de vivre, elle devint scribe … Ou plutôt poupée de souvenirs automatiques comme le veut l’appellation. Cela afin de transmettre des messages dans un nouveau monde qui n’a plus que la plume comme moyen d’expression.

Elle allait ainsi, à travers les histoires de ses clients, essayer de retranscrire leurs émotions et, peut-être, tenter de comprendre les siennes.

Mais mon encre étant limitée, je préfère que vous découvriez le reste par vous-même. La pièce est encore jouée sur Netflix, la suite de l’histoire se nomme « Éternité et la poupée de souvenirs automatiques » et la fin a été projetée au cinéma.

Au-delà de la fiction, j’aimerais remercier le travail fourni par toutes les personnes de Kyoto Animation qui ont contribué à rendre ce chef d’œuvre aussi beau visuellement, et rendre hommage à ceux qui ont péri lors de la tragédie du 18 juillet 2019.

Merci pour ces larmes, pour ses moments de joie et de tristesse, pour ces mots doux qui ont le pouvoir de panser les blessures de mon cœur.

 

Merci Violet Evergarden.

« Déni Cosmique » vs « Goliath » : « juste cynique » ou « cynique mais juste » ?

Alors pour commencer : Non, je ne suis pas mort. Enfin pas physiquement. Mais numériquement, on s’en approche : pas d’article depuis 2020 (et encore, c’était plus pour aider mes anciens collègues de Capgemini qu’autre chose), disparu de Twitter et de tout autre réseau « social » … Ça change du Xefir sur-expressif d’il y a 5 ans (pssss: vous pouvez toujours me trouver sur Discord Xefir#5032)

Mais je ne suis pas ici pour parler de ça, ou tout du moins, pas tout de suite. On va s’intéresser à deux films, deux expériences qui se ressemblent mais où mon ressenti s’oppose.

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